Matinale - ou finale, c'est selon... 21.12.2015


Ami lecteur, l’heure est grave… Critique même !

Ca devait arriver, c’était inévitable… On oublie ce genre de risque, mais on sait intimement qu’il est présent, là, tapit dans l’ombre, vous attendant au tournant…

Je ne t’ai jamais menti, lecteur fervent, je ne vais pas commencer aujourd’hui : Le Père est très malade ! Je comprends ta surprise : comment, un tel roc peut aussi être sujet à maladie, mais est-ce possible ?!

Suite à la crève de numéro 2 et 4, j’ai chopé je ne sais quoi. Je suis malade comme le fennec galleux à poils ras, dévasté, ravagé ! Je tousse tel le fumeur cacochyme en fin de traitement, ai une fièvre de cheval (ce matin j’ai frôlé 37.7C, tout de même !), renifle tel le punk enrhumé et dors en morse…

Aller jusqu’en Afrique pour finir par mourir d’une simple crève autochtone, quelle tragédie ! Quelle tristesse devant ce talent qui s’éteint, cette œuvre qui meurt dans l’œuf… 

C’est donc certainement ma dernière matinale, je le regrette bien, mais soit fort, normalement tous les 5-600 ans, la terre donne naissance à un génie de la littérature et de l’humour comme Le Père et tu pourras à nouveau rire et profiter de la vie !

Restez forts !

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